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Le prix Nobel de médecine 2008, Luc Montagnier, est décédé le 8 février 2022, à l’âge de 89 ans
Aucun média n’en a parlé, alors que le Professeur Montagnier a été sans aucun doute parmi les plus grands chercheurs français de notre époque, à l’avant-garde de la science sur de nombreux sujets.
Spécialiste en virologie, il travailla au CNRS, puis dans plusieurs laboratoires de recherche en Grande-Bretagne, où il fit des découvertes majeures sur la réplication des virus à ARN et sur le lien entre certains virus et le développement de cancers.
Après un passage à l’Institut Curie, il créa en 1972 l’unité d’oncologie virale dans le très respecté Institut Pasteur.
En 1983, Le Pr Montagnier et son équipe furent les premiers à isoler le virus du sida, une découverte considérable qui lui valut le Prix Nobel de médecine en 2008, et qui joua un rôle clé dans la lutte contre le sida.
Ses recherches ont notamment permis de comprendre le fonctionnement de ce rétrovirus, son rôle sur la maladie et de mettre au point le premier test de diagnostic sérologique du sida.
Luc Montagnier a aussi beaucoup œuvré pour la prévention du sida en Afrique, en créant notamment la fondation mondiale prévention et recherche sida sous l’égide de l’UNESCO.
En plus du Prix Nobel de médecine, le professeur a reçu des dizaines d’autres distinctions prestigieuses, dont le Prix Gallien, la médaille d’argent du CNRS, le prix Albert-Lasker et bien d’autres.
Par la suite, le Professeur Montagnier a continué à faire preuve de la curiosité et l’ouverture d’esprit qui caractérise à la fois les enfants et les grands scientifiques. Il s’est notamment intéressé à la mémoire de l’eau et aux signaux électromagnétiques qui seraient émis de l’ADN.
En avril 2020, en pleine pandémie, il a été l’un des premiers à suggérer que le virus du covid aurait été créé en laboratoire (cette annonce avait été très décriée dans les grands médias et considérée comme une théorie du complot. Mais depuis, d’autres chercheurs sont parvenus à des conclusions similaires et la question reste entièrement ouverte. Le Professeur Montagnier, qui a toujours défendu la liberté vaccinale (et plus généralement la liberté dans les soins) faisait aussi partie des rares chercheurs à avoir eu le courage d’alerter sur les risques liés à la vaccination.
Il était un véritable lanceur d’alerte, dénonçant parfois avant tout le monde de graves scandales sanitaires, comme l’affaire du sang contaminé ou encore les dangers de l’aluminium dans les vaccins, encore niés aujourd’hui par nos autorités malgré des preuves accablantes.
J’ai un grand respect pour Luc Montagnier et pour tout ce qu’il a apporté au monde de la santé.
Il représentait le scientifique par excellence, droit dans ses bottes, sans conflit d’intérêt, passionné par la découverte de la vérité quelle qu’elle puisse être.
Il n’hésitait pas à explorer de nouvelles voies, à remettre en question certains dogmes et à rendre public ses découvertes même les plus « dérangeantes » sans craindre de se mettre à dos les politiques, les laboratoires et une partie de la communauté scientifique.
Extrait de la revue Pure santé signé Florent Cavaler
et aussi
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L’une des premières personnes à avoir déclaré à la communauté scientifique que l’eau a une mémoire est Jacques Benveniste, un médecin et immunologiste français, directeur de recherche à L'INSERM.
Cette déclaration allait rapidement provoquer l'une des polémiques scientifiques les plus violentes du 20e siècle.
L'étude menée par le chercheur et son équipe en 1988 montrait, que d'après eux, les molécules de la matière possèdent une forme de mémoire qui subsiste, même après de fortes dissolutions, même lorque toute trace physique de la molécule a totalement disparu. Il s'agirait d'une sorte "d'empreinte" de mémoire, toujours active bien qu'indécelable. Benveniste affirme être parvenu à activer une cellule sanguine avec une solution d'eau contenant un anticorps totalement dilué (mille milliards de fois). D'après ses conclusions, l'information biologique s'est conservée dans le liquide et est restée active sans qu'il n'y ait plus aucune trace de ces protéines. Source (1)
La majorité de ces collègues ont contesté la véracité de ce résultat car ces expériences n’étaient pas selon eux reproductibles de façon convaincante, mais certains l’ont appelé « le Galilée du 20e siècle » pour ses découvertes en avance sur son temps.
Depuis ces premières expériences concernant la haute dilution en 1984, et jusqu’à nos jours, des milliers d'autres ont été réalisées, enrichissant et consolidant considérablement nos connaissances initiales. A ce jour, force est de constater qu'aucune faille n'a été observée dans ces expériences et qu'aucune contre-expérimentation valable n'a été proposée.
Jacques Benveniste n'était pas le seul à s'intéresser aux propriétés spécifiques de l’eau. En Russie, un autre scientifique, docteur en sciences biologiques Stanislav Zénine a lancé ces propres recherches concernant la structure de l’eau.
En 1999, il a défendu sa thèse devant ses confrères scientifiques intitulée « Etat structuré de l'eau comme base pour contrôler le comportement et la sécurité des systèmes vivants ». Source (2)
Zénine a défini l’eau comme perméable à l'information, une substance dont la structure convient au stockage de données d’informations biologiques. Dans le même temps, il a distingué deux types de mémoire de l’eau – « primaire » et « long terme ».
La mémoire primaire apparaîtrait après une courte exposition à l’impact informationnel et présenterait un changement réversible dans sa structure (et son affichage à la surface des clusters d'un nouveau motif électromagnétique). La mémoire à long terme est une transformation complète de la matrice d'éléments structurels dans les clusters en raison d'une exposition prolongée aux informations biologiques en forme d’ondes scalaires. Autrement dit, pour former telle structure de l’eau, il serait nécessaire de transmettre telles informations à l’eau pendant un certain temps.
Au Japon, le chercheur Masaru Emoto, familiarisé avec le concept micro cluster de l’eau et avec la technologie de l'analyse par résonance magnétique, a mis au point une méthode d’observation des cristaux d’eau gelés par la photographie.
C’est au fil de ses travaux sur les fluctuations ondulatoires de l’eau que M. Emoto a découvert « la richesse avec laquelle l’eau peut s’exprimer ». Pour obtenir sa cristallisation, des échantillons d’eau sont congelés dans des boîtes de Pétri à -20° durant trois heures. Puis, des gouttelettes de glace se forment à la surface, sur la couronne desquelles apparaît le cristal sous une projection de lumière. La photographie est alors prise à vitesse rapide.
Avec ses expériences, Emoto a mis en lumière que les cristaux étaient très différents selon la provenance de l’eau. Les eaux pures et vives forment de beaux cristaux harmonieux là où les eaux stagnantes, ou pire les eaux usées, ne forment pas de cristaux ou encore des cristaux très incomplets ou disharmonieux.
Ces photos démontreraient la grande sensibilité de l’eau à l’énergie émise par la pensée, la parole, l’image, la musique… Vous pouvez les consulter ici.
De nos jours, de plus en plus de scientifiques commencent à faire des recherches dans ce domaine. L'un d'eux est le biologiste virologue français Luc Montagnier, le codécouvreur du virus du Sida qui a obtenu le Prix Nobel de médecine en 2008. Ses travaux sur le Sida l'ont rapproché des travaux de son confrère Benveniste sur la mémoire de l'eau. Montagnier dit : "L'ADN qui est une molécule organise l'eau qui est autour, et cette eau garde l'information de l'ADN. Ça correspond exactement à ce qu'avait trouvé Jacques Benveniste pour d'autres molécules... L'eau peut transmettre des informations mais celles-ci peuvent également être transmises à distance grâce à des ondes. Parce que cette eau, organisée, émet des ondes…" Aujourd’hui, ce biologiste continue à travailler sur une approche informationnelle et scientifique du transfert d’informations par l’eau, à l’aide de moyens physiques peu coûteux (fréquences, champs magnétiques et scalaires...)