Ce dessous de plat a la propriété de ré-informer positivement l’eau et les aliments que l’on mets dessus, ceci grâce à l’association de la puissante onde de forme de la fleur de vie, cumulée au grès, et à l‘octogone.
Il peut également servir à ré-informer les pierres,les positiver.
certains se servent du symbole de la « fleur de vie » pour les aider à méditer.
Vous pouvez aussi la mettre dans vos placards ou lieux de stockage des aliments.
N’hésitez pas à le tester en goûtant les boissons où aliments avant, puis après une exposition d’environ 30 secondes à 1 minute…on se rend compte concrètement d'une
légère modification du goût.
dynamisation de l'eau dans sa carafe.
dynamisation de vos aliments et vos boissons
ré-informez positivement vos pierres semi- précieuses
pourquoi est il important de redynamiser l'eau ? :
Dès les années 90, il a été démontré par Jacques Benveniste (dont les travaux sont repris actuellement par le professeur Luc Montagné, et de nombreux chercheurs Russes... ) que l'eau n'est pas une matière inerte, elle a entre autre, la propriété de garder et transporter des "informations" qui émanent des lieux où elle passe. En conséquence lorsqu'elle est stockée dans les bouteilles, ou qu'elle stagne dans les canalisations, elle perd les informations positives, sa qualité structurelle qu'elle avait à la sortie du griffon, à la source.
Une bonne qualité vibratoire de l'eau est aussi importante que sa qualité bactériologique ou chimique. Elle apporterait l'information de vie jusqu'au cœur des des cellules .(Sans l'eau qui l'entoure et le soutien, l'ADN se désagrègerai nous dit Marc Henri scientifique spécialiste de l'eau)
l'exposition sur le plateau en grès avec la "fleur de vie" est un des procédés qui mets l'eau en résonance avec un taux vibratoire très élevé, et la restructure.
D'après Nassim Haramein, la fleur de vie est la représentation en 2D de la structure électromagnétique de l'espace temps, qui lui est en 3D.
dynamisation d'une soupe
le Plateau
POSITIVEZ VOS PIERRES
Pourquoi re-dynamiser aussi les aliments ?
Afin de bénéficier de la force et de la vitalité des fruits et légumes que nous mangeons, il faudrait les consommer très peu de temps après leur cueillette nous disent tous les professionnels, qui s’intéressent à la santé naturelle.
Tout ce qui a longuement séjourné dans les "frigos", toute l'alimentation industrielle, tout ce qui a été chauffé au micro-onde a perdu "l'information de vie" d'un fruit cueilli directement sur l'arbre, d'une eau bue à la source,d'une salade mangée moins d'une heure après avoir été arrachée au jardin...
ATTENTION ce plateau ne modifie en rien la composition chimique des aliments ou boissons ou tout autre ingrédient qui seront posés dessus, cela n'enlèvera ni chlore, ni pesticides, ni les éventuels microbes contenus dans l'eau. il est préférable de dynamiser une eau potable, préalablement filtrée.
car l'eau contenue dans nos cellules est structurée.
Bonjour,
Céramiste, et Formée en géobiologie depuis 1989, j’ai synthétisé mes connaissances dans ces deux domaines en créant un dessous de plat qui a la propriété de ré-informer positivement l’eau et les aliments que l’on met dessus, ceci grâce à l’association de la puissante onde de forme de la fleur de vie, cumulée au grès (argile cuite entre 1215 et 1280°), et à l‘octogone.
Cela fait maintenant dix ans que je fabrique ces plateaux à la main, de façon artisanale et en Bretagne .
L’une des premières personnes à avoir déclaré à la communauté scientifique que l’eau a une mémoire est Jacques Benveniste, un médecin et immunologiste français, directeur de recherche à L'INSERM.
Cette déclaration allait rapidement provoquer l'une des polémiques scientifiques les plus violentes du 20e siècle.
L'étude menée par le chercheur et son équipe en 1988 montrait, que d'après eux, les molécules de la matière possèdent une forme de mémoire qui subsiste, même après de fortes dissolutions, même lorque toute trace physique de la molécule a totalement disparu. Il s'agirait d'une sorte "d'empreinte" de mémoire, toujours active bien qu'indécelable. Benveniste affirme être parvenu à activer une cellule sanguine avec une solution d'eau contenant un anticorps totalement dilué (mille milliards de fois). D'après ses conclusions, l'information biologique s'est conservée dans le liquide et est restée active sans qu'il n'y ait plus aucune trace de ces protéines. Source (1)
La majorité de ces collègues ont contesté la véracité de ce résultat car ces expériences n’étaient pas selon eux reproductibles de façon convaincante, mais certains l’ont appelé « le Galilée du 20e siècle » pour ses découvertes en avance sur son temps.
Depuis ces premières expériences concernant la haute dilution en 1984, et jusqu’à nos jours, des milliers d'autres ont été réalisées, enrichissant et consolidant considérablement nos connaissances initiales. A ce jour, force est de constater qu'aucune faille n'a été observée dans ces expériences et qu'aucune contre-expérimentation valable n'a été proposée.
Jacques Benveniste n'était pas le seul à s'intéresser aux propriétés spécifiques de l’eau. En Russie, un autre scientifique, docteur en sciences biologiques Stanislav Zénine a lancé ces propres recherches concernant la structure de l’eau.
En 1999, il a défendu sa thèse devant ses confrères scientifiques intitulée « Etat structuré de l'eau comme base pour contrôler le comportement et la sécurité des systèmes vivants ». Source (2)
Zénine a défini l’eau comme perméable à l'information, une substance dont la structure convient au stockage de données d’informations biologiques. Dans le même temps, il a distingué deux types de mémoire de l’eau – « primaire » et « long terme ».
La mémoire primaire apparaîtrait après une courte exposition à l’impact informationnel et présenterait un changement réversible dans sa structure (et son affichage à la surface des clusters d'un nouveau motif électromagnétique). La mémoire à long terme est une transformation complète de la matrice d'éléments structurels dans les clusters en raison d'une exposition prolongée aux informations biologiques en forme d’ondes scalaires. Autrement dit, pour former telle structure de l’eau, il serait nécessaire de transmettre telles informations à l’eau pendant un certain temps.
Au Japon, le chercheur Masaru Emoto, familiarisé avec le concept micro cluster de l’eau et avec la technologie de l'analyse par résonance magnétique, a mis au point une méthode d’observation des cristaux d’eau gelés par la photographie.
C’est au fil de ses travaux sur les fluctuations ondulatoires de l’eau que M. Emoto a découvert « la richesse avec laquelle l’eau peut s’exprimer ». Pour obtenir sa cristallisation, des échantillons d’eau sont congelés dans des boîtes de Pétri à -20° durant trois heures. Puis, des gouttelettes de glace se forment à la surface, sur la couronne desquelles apparaît le cristal sous une projection de lumière. La photographie est alors prise à vitesse rapide.
Avec ses expériences, Emoto a mis en lumière que les cristaux étaient très différents selon la provenance de l’eau. Les eaux pures et vives forment de beaux cristaux harmonieux là où les eaux stagnantes, ou pire les eaux usées, ne forment pas de cristaux ou encore des cristaux très incomplets ou disharmonieux.
Ces photos démontreraient la grande sensibilité de l’eau à l’énergie émise par la pensée, la parole, l’image, la musique… Vous pouvez les consulter ici.
De nos jours, de plus en plus de scientifiques commencent à faire des recherches dans ce domaine. L'un d'eux est le biologiste virologue français Luc Montagnier, le codécouvreur du virus du Sida qui a obtenu le Prix Nobel de médecine en 2008. Ses travaux sur le Sida l'ont rapproché des travaux de son confrère Benveniste sur la mémoire de l'eau. Montagnier dit : "L'ADN qui est une molécule organise l'eau qui est autour, et cette eau garde l'information de l'ADN. Ça correspond exactement à ce qu'avait trouvé Jacques Benveniste pour d'autres molécules... L'eau peut transmettre des informations mais celles-ci peuvent également être transmises à distance grâce à des ondes. Parce que cette eau, organisée, émet des ondes…" Aujourd’hui, ce biologiste continue à travailler sur une approche informationnelle et scientifique du transfert d’informations par l’eau, à l’aide de moyens physiques peu coûteux (fréquences, champs magnétiques et scalaires...)