Le Symbole de la Fleur de Vie est considéré comme sacré à travers de nombreuses traditions de par le monde. À l’intérieur de ce Symbole on retrouve toutes les constructions de l’univers ainsi que les corps platoniciens (le tétraèdre, l’hexaèdre ou cube, l’octaèdre, le dodécaèdre et l’icosaèdre). Ce Symbole peut être utilisé en tant que métaphore pour illustrer la connexion de toute manifestation de la vie et de l’esprit dans l’univers. Le Symbole de la Fleur de Vie est constitué de dix-neuf cercles entrecroisés et inscrits à l’intérieur d’une sphère. La Fleur de Vie a été trouvée dans plusieurs endroits du monde tels que l’Egypte, la Turquie, la Grèce, l’Irlande, l’Angleterre, Israel, au Mont Sinai, en Inde, en Espagne et dans de nombreux temples au Japon et en Chine etc. Ceci à toutes les époques et dans toutes les cultures qui, selon les archéologues, n’avaient aucun contact direct, telles que les anciens Egyptiens et les Celtes médiévaux. »
Nassim Haramein mathématicien contemporain en parle dans ses conférences :
D'après ses déductions mathématiques, elle représente la projection à plat de la structure géométrique de "l'Espace Temps" (explications ci-dessous)
si vous avez un petit quart d'heure ...
cliquez ici ou ici
Elle est "gravée" sur le temple d'osiris en Egypte
vous trouverez ci-dessous plusieurs vidéos représentant et expliquant la "Fleur de vie"
Nassim Haramein explique ce que représente la "fleur de vie"
Nassim haramein présente ses travaux en général dans sa conférence du 25 juin 2015 à Bruxelles en français
explication de la fleur de vie par le mathématicien Nassim Haramein.
la Fleur de vie extrait du film Thrive
la fleur de vie en construction
DRUNVALO MELCHIZEDEK
lui a consacré deux tomes : "l'ancien secret de la fleur de vie" éditions-Ariane
The Resonance Project - Traduction Française
29 mai 2014 · Modifié ·
La structure fondamentale de l’Espace-temps
est un réseau géométrique scalaire infini utilisant le motif connu sous le nom de Fleur de Vie (Flower of
Life).
En d’autres mots, l’espace lui-même est constitué de paquets d’énergie discrets réellement minuscules : la plus petite vibration que le spectre électromagnétique puisse produire, la
Longueur de
Planck.
Ces minuscules paquets sont en quelques sorte les "pixels" qui composent notre Univers, et puisqu’ils ne sont pas carrés mais sphériques nous allons les appeler "voxels ", qui s’organisent en un
réseau géométrique 3D de Fleurs de Vie où les sphères sont parfaitement imbriquées les unes dans les autres.
D’abord découverte par
Max
Planck,
la plus petite distance mesurable de cette onde de forme universelle ou Longueur de Planck, a la valeur suivante: 0.0000000000000000000000000000000001616cm (10 exposant -33 cm)
Il est presque impossible de visualiser la petitesse de la longueur de Planck.
Pourtant, si nous nous représentons un point qui fait 0.1mm de diamètre (environ la plus petite taille que l’œil humain peut discerner) et que l’on gonfle ce point comme un ballon pour atteindre
la taille de l’Univers, la longueur de Planck correspondrait à un point de 0.1mm de diamètre.
En d’autres mots, ce point originel de 0.1mm de diamètre dont nous nous sommes servis est environ à mi-chemin entre la taille de l’Univers et la longueur de Planck !
Le vivant est la condition limite entre l’infiniment grand et l’infiniment petit
http://tinyurl.com/HarameinLoiEchelle
http://tinyurl.com/HarameinLoiEchelle2
(Les microtubules sont plus vers le haut du graphe, l’organisme vivant se situera logiquement plus bas, soit au milieu de la loi d’échelle)
Nassim
Haramein
nomme ces paquets d’énergie discrets Unités Sphériques de Planck (PSUs – Planck Spherical Units) car ils sont de forme sphérique, comme la plupart des autres structures que l’Univers crée à
toutes les échelles. Ces formes d’ondes sphériques se chevauchent et s’arrangent à la perfection pour former un réseau 3D de Fleur de Vie, qui est la structure même de l’espace-temps.
En utilisant ces voxels universels comme briques fondamentales, Nassim calcule combien d’entre eux tiennent dans le volume d’un proton comparé à combien sont présent sur la surface externe du
proton (ou tout autre trou noir). Ce rapport, une simple relation géométrique, c’est le champ gravitationnel !
La gravité est essentiellement un ratio de la quantité d’information à l’intérieur comparée à la quantité d’information à la surface des trous noirs dans une variété d’espace-temps
holofractographique.
Nassim a découvert une manière discrète, pixellisée (voxelisée) pour décrire la gravité, dans laquelle tout ce que nous avons à faire est de compter le nombre de ces petites PSUs sans nul besoin
des équations tensorielles ultra-complexes jusqu’ici nécessaires pour résoudre les équations de champ d’Albert
Einstein
(une solution géométrique à ses équations était son rêve, à présent devenu réalité).
Plus d'infos:
http://tinyurl.com/IntroPubNassim
Vous pouvez placer un carrelage de Fleur de Vie autour de la
Terre
et ce même rapport géométrique nous donnera la valeur de ce
Champ
gravitationnel
si familier qui fait en sorte que nous ayons tous…les pieds sur Terre.
Une solution géométrique pour la gravité.
L’ironie dans tout cela, c’est que cette solution nous nargue depuis l’antiquité, car bien des anciennes cultures nous ont laissé le symbole de la Fleur de Vie, gravé dans leurs monuments, et
reproduit dans leurs écrits et leur art.
L’une des premières personnes à avoir déclaré à la communauté scientifique que l’eau a une mémoire est Jacques Benveniste, un médecin et immunologiste français, directeur de recherche à L'INSERM.
Cette déclaration allait rapidement provoquer l'une des polémiques scientifiques les plus violentes du 20e siècle.
L'étude menée par le chercheur et son équipe en 1988 montrait, que d'après eux, les molécules de la matière possèdent une forme de mémoire qui subsiste, même après de fortes dissolutions, même lorque toute trace physique de la molécule a totalement disparu. Il s'agirait d'une sorte "d'empreinte" de mémoire, toujours active bien qu'indécelable. Benveniste affirme être parvenu à activer une cellule sanguine avec une solution d'eau contenant un anticorps totalement dilué (mille milliards de fois). D'après ses conclusions, l'information biologique s'est conservée dans le liquide et est restée active sans qu'il n'y ait plus aucune trace de ces protéines. Source (1)
La majorité de ces collègues ont contesté la véracité de ce résultat car ces expériences n’étaient pas selon eux reproductibles de façon convaincante, mais certains l’ont appelé « le Galilée du 20e siècle » pour ses découvertes en avance sur son temps.
Depuis ces premières expériences concernant la haute dilution en 1984, et jusqu’à nos jours, des milliers d'autres ont été réalisées, enrichissant et consolidant considérablement nos connaissances initiales. A ce jour, force est de constater qu'aucune faille n'a été observée dans ces expériences et qu'aucune contre-expérimentation valable n'a été proposée.
Jacques Benveniste n'était pas le seul à s'intéresser aux propriétés spécifiques de l’eau. En Russie, un autre scientifique, docteur en sciences biologiques Stanislav Zénine a lancé ces propres recherches concernant la structure de l’eau.
En 1999, il a défendu sa thèse devant ses confrères scientifiques intitulée « Etat structuré de l'eau comme base pour contrôler le comportement et la sécurité des systèmes vivants ». Source (2)
Zénine a défini l’eau comme perméable à l'information, une substance dont la structure convient au stockage de données d’informations biologiques. Dans le même temps, il a distingué deux types de mémoire de l’eau – « primaire » et « long terme ».
La mémoire primaire apparaîtrait après une courte exposition à l’impact informationnel et présenterait un changement réversible dans sa structure (et son affichage à la surface des clusters d'un nouveau motif électromagnétique). La mémoire à long terme est une transformation complète de la matrice d'éléments structurels dans les clusters en raison d'une exposition prolongée aux informations biologiques en forme d’ondes scalaires. Autrement dit, pour former telle structure de l’eau, il serait nécessaire de transmettre telles informations à l’eau pendant un certain temps.
Au Japon, le chercheur Masaru Emoto, familiarisé avec le concept micro cluster de l’eau et avec la technologie de l'analyse par résonance magnétique, a mis au point une méthode d’observation des cristaux d’eau gelés par la photographie.
C’est au fil de ses travaux sur les fluctuations ondulatoires de l’eau que M. Emoto a découvert « la richesse avec laquelle l’eau peut s’exprimer ». Pour obtenir sa cristallisation, des échantillons d’eau sont congelés dans des boîtes de Pétri à -20° durant trois heures. Puis, des gouttelettes de glace se forment à la surface, sur la couronne desquelles apparaît le cristal sous une projection de lumière. La photographie est alors prise à vitesse rapide.
Avec ses expériences, Emoto a mis en lumière que les cristaux étaient très différents selon la provenance de l’eau. Les eaux pures et vives forment de beaux cristaux harmonieux là où les eaux stagnantes, ou pire les eaux usées, ne forment pas de cristaux ou encore des cristaux très incomplets ou disharmonieux.
Ces photos démontreraient la grande sensibilité de l’eau à l’énergie émise par la pensée, la parole, l’image, la musique… Vous pouvez les consulter ici.
De nos jours, de plus en plus de scientifiques commencent à faire des recherches dans ce domaine. L'un d'eux est le biologiste virologue français Luc Montagnier, le codécouvreur du virus du Sida qui a obtenu le Prix Nobel de médecine en 2008. Ses travaux sur le Sida l'ont rapproché des travaux de son confrère Benveniste sur la mémoire de l'eau. Montagnier dit : "L'ADN qui est une molécule organise l'eau qui est autour, et cette eau garde l'information de l'ADN. Ça correspond exactement à ce qu'avait trouvé Jacques Benveniste pour d'autres molécules... L'eau peut transmettre des informations mais celles-ci peuvent également être transmises à distance grâce à des ondes. Parce que cette eau, organisée, émet des ondes…" Aujourd’hui, ce biologiste continue à travailler sur une approche informationnelle et scientifique du transfert d’informations par l’eau, à l’aide de moyens physiques peu coûteux (fréquences, champs magnétiques et scalaires...)