Dessous de plat "Fleur de vie" pour dynamiser tous vos aliments cuits ou crus, votre corbeille à fruits, vos bouteilles et votre carafe d'eau...etc... Indispensable au centre de votre table !
Il peut également être utilisé pour positiver les pierres semi précieuses, les minéraux, et tout ce dont vous souhaitez augmenter le taux vibratoire.
Produit fabriqué à la main en grès émaillé bleu avec incrustation du symbole de la fleur de vie.
(diamètre total 17cm environ diamètre de la fleur de vie proprement dite: 6,2 cm + ou - 10% )
Photo non contractuelle.
le délai de livraison si dessous est valable si l'article est disponible en stock, sinon compter un délai de fabrication d'un mois.
(les nuances et la couleur de l'émail, l'incrustation des motifs,et les dimensions peuvent varier de façon perceptible, c'est un travail artisanal , fait main par moi-même)
39,99 €
Prix final, frais de port non compris1
Frais de port offerts dans les pays suivants: Autres pays Réduire
Facile à transporter, pour augmenter le taux vibratoire de vos plats au restaurant, votre boisson, vos médicaments, produits de beauté, ou tout simplement en en usage de dessous de verre : le disque Fleur de Vie (diamètre environ 7.5 cm)
Il peut également "nettoyer" bijoux et pierres semi-précieuses. Plat et discret, il peut être déposé sous l'écuelle d'eau de votre animal de compagnie...
photo non contractuelle.
le délai de livraison si dessous est valable si l'article est disponible en stock, sinon compter un délai de fabrication d'un mois.
(les nuances et la couleur de l'émail, l'incrustation des motifs,et les dimensions peuvent varier de façon perceptible,'c'est un travail artisanal ,fait main par moi-même)
19,99 €
Prix final, frais de port non compris1
Frais de port offerts dans les pays suivants: Autres pays Réduire
Ces produits sont réalisés en grès émaillé bleu avec incrustation du symbole de la fleur de vie. La réalisation étant artisanale (fabriqué à la main par moi-même), ils ne sont pas tous exactement identiques, les nuances de couleur peuvent varier également, en conséquence les photos ne sont pas contractuelles.
L’une des premières personnes à avoir déclaré à la communauté scientifique que l’eau a une mémoire est Jacques Benveniste, un médecin et immunologiste français, directeur de recherche à L'INSERM.
Cette déclaration allait rapidement provoquer l'une des polémiques scientifiques les plus violentes du 20e siècle.
L'étude menée par le chercheur et son équipe en 1988 montrait, que d'après eux, les molécules de la matière possèdent une forme de mémoire qui subsiste, même après de fortes dissolutions, même lorque toute trace physique de la molécule a totalement disparu. Il s'agirait d'une sorte "d'empreinte" de mémoire, toujours active bien qu'indécelable. Benveniste affirme être parvenu à activer une cellule sanguine avec une solution d'eau contenant un anticorps totalement dilué (mille milliards de fois). D'après ses conclusions, l'information biologique s'est conservée dans le liquide et est restée active sans qu'il n'y ait plus aucune trace de ces protéines. Source (1)
La majorité de ces collègues ont contesté la véracité de ce résultat car ces expériences n’étaient pas selon eux reproductibles de façon convaincante, mais certains l’ont appelé « le Galilée du 20e siècle » pour ses découvertes en avance sur son temps.
Depuis ces premières expériences concernant la haute dilution en 1984, et jusqu’à nos jours, des milliers d'autres ont été réalisées, enrichissant et consolidant considérablement nos connaissances initiales. A ce jour, force est de constater qu'aucune faille n'a été observée dans ces expériences et qu'aucune contre-expérimentation valable n'a été proposée.
Jacques Benveniste n'était pas le seul à s'intéresser aux propriétés spécifiques de l’eau. En Russie, un autre scientifique, docteur en sciences biologiques Stanislav Zénine a lancé ces propres recherches concernant la structure de l’eau.
En 1999, il a défendu sa thèse devant ses confrères scientifiques intitulée « Etat structuré de l'eau comme base pour contrôler le comportement et la sécurité des systèmes vivants ». Source (2)
Zénine a défini l’eau comme perméable à l'information, une substance dont la structure convient au stockage de données d’informations biologiques. Dans le même temps, il a distingué deux types de mémoire de l’eau – « primaire » et « long terme ».
La mémoire primaire apparaîtrait après une courte exposition à l’impact informationnel et présenterait un changement réversible dans sa structure (et son affichage à la surface des clusters d'un nouveau motif électromagnétique). La mémoire à long terme est une transformation complète de la matrice d'éléments structurels dans les clusters en raison d'une exposition prolongée aux informations biologiques en forme d’ondes scalaires. Autrement dit, pour former telle structure de l’eau, il serait nécessaire de transmettre telles informations à l’eau pendant un certain temps.
Au Japon, le chercheur Masaru Emoto, familiarisé avec le concept micro cluster de l’eau et avec la technologie de l'analyse par résonance magnétique, a mis au point une méthode d’observation des cristaux d’eau gelés par la photographie.
C’est au fil de ses travaux sur les fluctuations ondulatoires de l’eau que M. Emoto a découvert « la richesse avec laquelle l’eau peut s’exprimer ». Pour obtenir sa cristallisation, des échantillons d’eau sont congelés dans des boîtes de Pétri à -20° durant trois heures. Puis, des gouttelettes de glace se forment à la surface, sur la couronne desquelles apparaît le cristal sous une projection de lumière. La photographie est alors prise à vitesse rapide.
Avec ses expériences, Emoto a mis en lumière que les cristaux étaient très différents selon la provenance de l’eau. Les eaux pures et vives forment de beaux cristaux harmonieux là où les eaux stagnantes, ou pire les eaux usées, ne forment pas de cristaux ou encore des cristaux très incomplets ou disharmonieux.
Ces photos démontreraient la grande sensibilité de l’eau à l’énergie émise par la pensée, la parole, l’image, la musique… Vous pouvez les consulter ici.
De nos jours, de plus en plus de scientifiques commencent à faire des recherches dans ce domaine. L'un d'eux est le biologiste virologue français Luc Montagnier, le codécouvreur du virus du Sida qui a obtenu le Prix Nobel de médecine en 2008. Ses travaux sur le Sida l'ont rapproché des travaux de son confrère Benveniste sur la mémoire de l'eau. Montagnier dit : "L'ADN qui est une molécule organise l'eau qui est autour, et cette eau garde l'information de l'ADN. Ça correspond exactement à ce qu'avait trouvé Jacques Benveniste pour d'autres molécules... L'eau peut transmettre des informations mais celles-ci peuvent également être transmises à distance grâce à des ondes. Parce que cette eau, organisée, émet des ondes…" Aujourd’hui, ce biologiste continue à travailler sur une approche informationnelle et scientifique du transfert d’informations par l’eau, à l’aide de moyens physiques peu coûteux (fréquences, champs magnétiques et scalaires...)